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ville de vanves - Page 632

  • ENFIN A VANVES UNE REUNION DU GRAND DEBAT NATIONAL

    Rien d’étonnant à Vanves, comme dans la 10éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy), il ne fallait pas s’attendre à autre chose qu’un service service minimum pour le grand débat national, que l’ouverture d’un cahier de doléances à l’hôtel de ville. Heureusement, les marcheurs n’ont pas attendus pour prendre l’initiative, avec leur député, Florence Provendier, en organisant deux réunions à Issy les Moulineaux, dont une Lundi soir à l’hôtel Ibis (rue JJ Rousseau à 20H)  et une à Vanves le 21 Février à l’école Max Fourestier entre 19H30 et 22H30, dont le préau est le plus petit des écoles proposés pour de telles réunions, histoire d’empêcher qu'il y ait trop de monde. En tous les cas, beaucoup le pensent. 

    Ce qui n’empêchera pas les vanvéens, à l’invitation des marcheurs, de débattre sur les thématiques suivantes :

    - Comment mieux accompagner les Français dans leur vie quotidienne pour se loger, se déplacer, se chauffer ?

    - Comment rendre notre fiscalité plus juste, plus efficace, plus compétitive et plus lisible ?

    - Comment faire évoluer la pratique de la démocratie et de la citoyenneté ?

    - Comment faire évoluer l’organisation de l’État et des services publiques pour les rendre plus proches des Français et plus efficaces ? 

    «Les contributions qui émergeront des échanges seront partagées entre tous et ne seront pas labellisées En Marche» indiquent les animateurs d’En Marche à Vanves

  • REVUE DE PRESSE A VANVES : LORSQUE «LE MONDE» PARLE DE STEPHANE PLAZA

    Un article du Monde très intéressant s’est intéressé voilà quelques jours  ( 19 Janvier 2019) aux «bonnes affaires de la maison Plaza» consacré à cet «animateur de M6 spécialisé dans les émissions d’achats et de ventes de logements » qui «est un touche à tout, désormais à la tête d’un réseau de 400 agences immobiliéres» dont une à Vanves, rue de la République dans le Centre Ancien (photo de l’équipe parue dans Vanves Infos)  depuis plusieurs mois.

    Occasion pour Jean Michel Normand d’expliquer sur toute une page que «Stephane Plaza creusé son sillon en théatralisant le rapport à l’immobilier» à travers ses trois émissions hebdomadaires qui réunissent régulièrement plus de 2,5 millions de téléspectateurs. «Stephane Plaza a eu l’intuition qu’il fallait réintroduire un zeste de marketing pour réenchanter l’austére profession immobilière jusqu’alors rétive à la mise en scéne » explique le journaliste « en ayant importé des USA le concept de «home-staging » qui vise à faciliter la vente d’une maison en rénovant la décoration à moindre frais et en adoptant un style moderne  mais neutre, voire dépersonnalisé, acceptable par le plus grand nombre» explique t-il en ajoutant que « depuis 2 ans il a levé le pied sur ses activités extra-immobilières pour se consacrer à son vaste projet : mettre son aura médiathique au service de la constitution d’un groupe qui pourrait se hisser parmi les cinq premiers réseaux français », en visant 500 points de vente en 2020.

    Rappelons qu’il avait lancé en 2025 son entreprise « Stephane Plaza Immobilier » depuis son agence du 11éme arrondissement «supervisant le recrutemet des franchisés, les nouveaux venus (devant) versés 27 000 € de droit d’entrée et 8% de royalties sur le chiffre d’affaires » avec à la clef, une formation comprenant des cours d’expression théâtral. «Ils soucrivent aussi à un règlement intérieur qui interdit notamment au personnel de fumer devant l’entrée de leur agence – « pour le public, cela veut dire qu’on glande » assure t-il. « A L’intérieur des locaux, l’atmosphère se veut plus cosy et décontractée qu’aillleurs, les couleurs sont gaies et les tables rondes plutôt que carrés » décrit il en le citant «Il faut retrouver une qualité d’écoute une empahie. Un peu de la magie de la télé »…. « Reste à savoir si ces disciples consacreront autant d’énergie aux causes perdues – à l’image de leur mentor dans ses émissions- qu’aux ventes ficelées d’avance »  

  • VANVES ET LES MUNICIPALES DE 2020 : L’Etat d’esprit des maires à 15 mois des élections

    Un sondage sur «l’état d’esprit des maires à 18 mois des prochaines élections municipales» réalisé par l’IFOP pour le groupe Les Républicains au Sénat vient d’être rendu public. Commandé cet été, bien avant le mouvement des gilets jaunes, alors que les médias relataient la lassitude des maires, avec des démissions en cascade de maires et d’adjoints aux maires, à un niveau jamais atteint,  il a été réalisé après le 17 Novembre (et le Congrés des Maires)  auprès d’un échantillon plus large de maires (600) qu’à l’habitude.  

    89% sont satisfait d’exercer le mandat de maire sur leur commune (95% pour les maires ayant exercé 3 mandats et étant à la tête d’une commune de prés de 30 000 habibants comme Vanves), les enquêteurs de l’IFOP n’ayant pas constatés de clivage entre maire d’une petite ou d’une grande commune. Pour eux, être maire c’est d’abord agir, réaliser des projets (72%), rencontrer les administrés (65%), agir sur le cours des choses (31%).  Mais voilà, 87% considérent qu’il est difficile aujourd’hui d’exercer leur fonction de maire (84% pour ceux ayant exercé 3 mandats, et 86% pour les maires de villes de prés de 30 000 habitants). Parmi les éléments qu’ils mettent en avant dans l’exercice de leurs fonctions, apparaissent le manque de moyens pour agir (76%), le manque de reconnaissance de l’Etat (50%) et des administrés (22%), le fait de sacrifier sa vie personnelle et familiale (19%), les rivalités et les tensions liées à leurs fonctions (12%) .  Les premiers mots parmi les sentiments positifs exprimés sont «dévouement» (62%), «motivation» (54%), «enthousiasme» (29%), et négatifs sont «lassitude» (22%), «colére» 17%), «solitude» (9%). Ils mettent en avant, la lourdeur  de la tâche, la complexité des réglementations et des normes, le manque des moyens financiers, les relations avec l’intercommunalité, les agressions verbale et physiques….  42% ont l’intention de solliciter un nouveau mandat (39% des maires ruraux, 82% des maires de grandes villes, 75% des maires de villes de prés de 30 000 habitants et 37% de maires ayant exercé 3 mandats), Alors que 58% des français souhaitent que leur maire se représente.

    En matière de réformes, les maires souhaitent que le gouvernement mène à bien plusieurs réforme, mais pour l’instant, ils ne lui font pas confiance, que ce soit sur le statut de l’élu (66%), la clarification entre communes-intercommunalités-Etat (76%), la réforme des finances locales (80%). Seuls 49%   des maires considèrent que l’intercommunalité est une chance, 42% plutôt une menace. A ce propos, il est intéressant de noter que 68% considèrent qu’elle permet de porter des projets bénéficiant à leur commune (68%), d’être plus efficace dans les actions à mener (62%),  mais qu’elle complexifie et ralentit la prise de décision (67%), éloigne de la prise de décision ( 65%)… «Le développement d’intercommunalités imposées a fini par désespérer les élus locaux qui dénoncent, pêle-mêle, le temps perdu dans des réunions toujours plus nombreuses et l’illusion que le maire a encore les moyens de décider dans sa commune. Une relation asymétrique met en lumière une perte d’autonomie qui ne permet plus au maire de mener la politique pour laquelle il a été élu» notaient les présidents des groupes LR et UDI au Sénatn Bruno Retailleau et Hervé Marseille, dans un grand quotidien régional.

    70% des maires considèrent que le Sénat est utile pour défendre leurs intérêts et ceux de leurs territoires, les maires des grandes communes en étant plus persuadés que les autres. Ce qui fait dire à Bruno Retailleau : «Comment Macron pourrait il fragiliser le Sénat alors qu’il  dialogue de nouveau avec les maires».  Il compte apporter les résultats de ce sondage comme contribution au grand débat national.